Poème du 06/12/2007
Et tout semblait si triste sous ce ciel de décembre
Empli de serpents se consumant de leurs cendres;
De leurs yeux ébahis s´éparpillèrent mille flèches
Transpercant ton coeur pour qu´il se déverse;
Clame ton innocence devant toute cette arrogance
M´égarant dans la nostalgie et ses moindres méandres;
Je rappelais à ma vie ce vers quoi il faudrait tendre.
Mais voilá mon coeur à terre, vide et évidé
Je ne sais si je dois le ramasser
Ou le regarder ainsi pour l´éternité
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